Johnny Cliptou
Il y a eu Johnny Guitar (Nicholas Ray, 1953). Il y a eu ensuite Johnny B.Goode (Chuck Berry, 1958). Il y a désormais Johnny Cliptou (Bressuire, 2010)…
En stage à Créaprime, spécialiste de la création et de l’impression, Johnny a une mission essentielle : promouvoir le nouveau produit de l’agence : le cliptou magnet, avec qui-coincidence !, j’ai cohabité sur le Courrier de l’Ouest de mercredi.
Après le cliptou tout court, la boite est passée du trombone pour lequel on ne pouvait raconter du pipeau à l’aimant communicant pour lequel il faut attirer en faisant de la com magnétique.
De la magnéticom !
A Créaprim, le rôle de Johnny est de promouvoir ce nouveau produit en prospectant dans le secteur, de Moncoutant au Pin, d’Argenton à Thouars.
Sur l’agenda de son circuit quotidien : prise de rendez-vous, présentation du produit, dépose de la plaquette promotionnelle et relance par mail ou phoning.
Les hommes, les femmes, les aimants
Johnny doit interpréter sa partition face aux prospects : pas question de fausse note dans son tour de chant magnétique. L’aimant publicitaire doit coller au client comme il adhère aux surfaces métalliques ou aux pochettes de chemise.
Il doit convaincre les clients d’en pincer pour le cliptou, tout comme le cliptou en pince pour les feuilles de papiers qu’il peut rassembler jusqu’à trente dans la même mâchoire magnétique.
Tout un programme ! Johnny doit accrocher le client potentiel ! Mieux, il doit désormais l’aimanter avec son cliptou magnet.
Pascal Thomas qui n'a rien à voir avec Nicholas Ray ou Chuck Berry avait signé un film : « Les hommes, les femmes, les amants. ». Pour Créaprime, Johnny tourne aujourd'hui au quotidien un clip quelque peu différent :
Les hommes. Les femmes. Les aimants.