La diva de Divam
Il est toujours préférable d’éviter les propos diffamatoires. Surtout quand on peut les remplacer par des propos DIVAMatoires. A Bressuire comme à Thouars !
C’est le cas du blog-trotteur. La preuve !
Divam et les Forces de Vente c’est une vieille histoire d’actions commerciales qui se perpétue au fil des années avec un ou une lauréate affichée au tableau d'honneur.
« Tu veux être un bon vendeur ? Tu dois savoir vendre des chaussettes Divam. Et surtout ne pas t’y prendre comme un pied ! » Telle est l’antienne répétée à longueur d’année par les profs de vente toujours très futés à la Futaie.
Pour financer leurs voyages ou leurs projets pédagogiques, les Force de vente, hier, puis les NRC aujourd’hui sont tous passés par cette vente forcée.
Les chausses de la vie
Qu’importe s’ils ne savaient pas articuler correctement ce virelangue classique : « les chaussettes de l’archiduchesse sont elles sèches, archi-sèches » ? Il leur suffisait d’entonner l’hymne de Divam : « sachez acheter les chaussettes les plus chaussantes ».
Et Emilie, la dévouée diva de Divam, aurait pu l'expliquer à tous avec ou sans présentation Powerpoint lors de son exposé sur sa période de stage...
Comme dans le film de Claude Sautet, les étudiants de NRC découvre un peu la vie et beaucoup les chausses de la vie
Après Eram, le chasseur sachant chausser, place à Divam, le chaussetteur sachant chausser
Et Dieu sait que j’ai été sollicité. Je porte du Divam de la tête au pied : sous-vêtements Divam, peignoir Divam, et bien sûr chaussettes Divam, tablier Divam qui rime avec jéroboam. Pas de problème désormais, côté Divam, j’ai de la bouteille…
Tous les ans, je refais ma garde robe et les chaussettes Divam qui s’usent encore moins vite que les piles Duracel s’entassent dans mes tiroirs.
Pas étonnant que la plupart des profs de Saint-Jo et les familles proches de nos étudiants soient élégants du pied : chaussettes courtes, chaussettes longues, chaussettes à rayures, chaussettes à carreaux, chaussettes grises ou chaussettes marrons, chaussettes à motifs ou chaussettes sans motifs, chaussettes de semaine ou chaussettes du dimanche.
Jus de chaussette
On dit que les cordonniers ne sont pas toujours les mieux chaussés, mais les profs de Saint-Jo, grâce aux NRC, sont toujours les mieux chaussettées.
Si quelques étudiants, en trouvant l’amour à Saint-Jo, ont trouvé chaussure à leur pied, TOUS avec Divam ont trouvé chaussette à leur pied
Même au café matinal, on a du jus de chaussette, c’est dire…
Vous avez vu des chaussettes Divam avec un gros trou à l’orteil vous ? Moi, jamais. Pas de « patate » avec Divam. Les étudiants se contentent de se refiler Divam d’une promo à l’’autre, telle une patate chaude.
Ils peuvent toujours en faire une tartiflette en rajoutant du fromage.
Du chausseeeette aux moines, évidemment...
Pourvu que les moines ne m'attaquent pas en divamation. Mais en est tonsure?
Et dans la recette locale de la Futaie, on n’oublie surtout pas le beurre que se font les meilleurs vendeurs : il y a un an, Nathan BAUDIN avait réalisé un chiffre d’affaires de 1363 euros avant de partir appliquer ses techniques de vente down under, là-bas en Australie.
Il y a deux ans, Charlène SECHET s’était bien mouillée pour le chaussetier en atteignant 1342 euros grâce à sa formule magique : « les chaussettes de Charlène sont-elles séchet, archi-Séchet ».
Et cette année, avec son chiffre d’affaires-record de 1803 euros, Emilie NICOLLEAU crève le plafond en devenant la diva de DIVAM.
Star de la chaussette :
En vendant l’équivalent de 86 paires de chaussettes, Emilie y est allé fort : Pas d’Emilie-mélo, pas d’Emilie –molo…
L’habit ne fait pas le moine, mais la chaussette fait la vendeuse
En participant activement au financement collectif du voyage de classe en Allemagne, elle n’aura pas besoin de faire la manche sur l’air de:
« A vot’ bunker, Messieurs-Dames » (elle est bien Bonn, celle-là!).
Emilie, la diva de Divam, aura largement de quoi financer ses sorties à Berlin.
Au cas où elle aurait envie de faire le mur…